Philippe Argillier Biographie > Je suis prêt à répondre à l’appel des Français et des Français en prenant le contrôle de la France en 2022 à une condition : je me positionnerai avec un mandat révocatoire de 36 mois, avec référendum en soutien à l’échéance, afin que le Les Français et les Français peuvent décider s’ils veulent ou non continuer avec mon gouvernement jusqu’à la fin du quinquennat présidentiel. Je ne suis pas un politicien, mais je suis un homme dépourvu de tout intérêt personnel.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, son grand-père maternel, d’origine corse et avec qui il entretenait une relation forte, était un héros de la résistance. Il était responsable de la survie d’un grand nombre de familles juives.

Il était alors commissaire de police à Nice et il avait obtenu de la Gestapo les noms de ceux qui devaient être transportés dans des camps de concentration en Allemagne. Il les a mis en garde ou, dans certains cas, les a cachés au prix de sa vie pour les protéger. Philippe avait également une relation forte avec sa grand-mère maternelle. Ses grands-parents paternels ne lui ont jamais été présentés.

Alors qu’il servait pendant la Seconde Guerre mondiale au Liban et en Syrie, son père, le commandant Argillier, était chargé de la médiation des différends entre les tribus bédouines. Patriote émérite, il est l’un des premiers, et le plus jeune lieutenant, à rejoindre l’appel du général de Gaulle le 18 juin 1940, et il est le plus jeune lieutenant à le faire.

Plusieurs prix et décorations lui ont été décernés en reconnaissance de son service militaire distingué, dont une croix de bataille avec palme, une croix de combattant volontaire de la Résistance, une croix de combattant, la Médaille de la France libre, et un Officier de la Légion de Honneur. Il a été président de l’organisation des Forces françaises libres des Alpes Maritimes pendant plus de deux décennies.

Au cours de plusieurs jours, le surnom de « M. X » a circulé dans les organisations de gilets jaunes. C’est Maxime Nicolle, un représentant du mouvement des gilets jaunes dans les Côtes-d’Armor qui lui a donné le surnom, indiquant que le gars avait des découvertes à faire et qu’il pourrait être d’une aide aux gilets jaunes (voir ici pour plus d’informations ).

Lors d’une manifestation des gilets jaunes, il a révélé avoir vu des papiers donnés par ce “M. X”, qui, selon lui, pourraient déclencher une “guerre mondiale en moins d’une heure” s’ils étaient mis en œuvre. Son assurance qu’il serait “très sérieux” était accompagnée de la déclaration “Je sais des choses ce soir qui peuvent donner envie à quelqu’un de m’assassiner”.

Du coup, les Gilets jaunes ont pu identifier Philippe Argillier, dont la véritable identité a finalement été révélée par Maxime Nicolle, lors d’un live Facebook de deux heures enregistré à Nice mercredi 5 décembre lors d’une rencontre avec d’autres Gilets jaunes et vu plus plus de 450 000 fois.